Présente le 20 septembre à Condat aux côtés des salariés, de l’intersyndicale et des élus venus nombreux pour soutenir la lutte pour le maintien de la ligne 4.
Fleuron industriel et premier employeur de Dordogne, les papeteries de Condat sont reconnues pour leur savoir-faire dans la production de papier couché double face, utilisé pour l’impression des livres des principales maisons d’édition françaises.
Dans un contexte d’urgence écologique et de réindustrialisation, la fermeture de la ligne 4 des Papeteries de Condat apparaîtrait comme un non-sens écologique et stratégique.
De plus, il n’est pas acceptable qu’une entreprise puisse se moderniser avec la participation d’aides publiques pour ensuite délocaliser le savoir-faire et supprimer 187 postes sans qu’aucune garantie ou contrepartie ne lui soit exigée. La conditionnalité des aides est plus que jamais une nécessité.
Les élus, comme les salariés, restent mobilisés. Condat peut et doit vivre !