J’étais, vendredi 23 février, à l’émouvante commémoration de la rafle du gymnase Secrestat où plus de 70 Juifs étrangers de Dordogne furent internés les 23, 24 et 27 février 1943 par les autorités françaises avant d’être livrés à la barbarie nazie.
Un devoir de mémoire essentiel alors que la lutte contre l’antisemitisme, contre la haine et les divisions sont d’une brûlante actualité.