Le samedi 7 juin, j’ai participé à la première édition de la Fête pour la paix, organisée à la plaine de Lamoura à Boulazac-Isle-Manoire. Cette initiative, portée par la Fédération de la Dordogne du PCF, a rassemblé une vingtaine d’associations humanistes autour d’un objectif commun : rappeler que la paix n’est jamais acquise et qu’elle exige l’engagement de toutes et tous.
Dans un contexte mondial marqué par la résurgence des guerres, des tensions géopolitiques, et des atteintes aux droits humains, cette journée a été l’occasion de faire vivre le débat citoyen, de croiser les voix et les expériences. Aux côtés de la Ligue des droits de l’Homme, Amnesty International, du Mouvement de la Paix, du Secours populaire ou encore du comité Dordogne Palestine, nous avons rappelé que la paix ne se décrète pas, elle se construit par le dialogue, la culture, la solidarité.
Cette fête, à la fois conviviale, militante et populaire, a démontré une chose : notre territoire n’est pas à l’écart des grands combats du monde. En Dordognecomme ailleurs, des citoyens s’engagent pour dire non à l’indifférence, à la guerre, et oui à la solidarité internationale, à la dignité humaine et à la justice.
Je tiens à saluer les organisateurs, les bénévoles, les artistes, les associations et toutes celles et ceux qui ont fait de cette première édition une réussite. Leur mobilisation est un signal fort, dans un monde troublé, pour rappeler que la paix est une exigence vitale à défendre chaque jour, ici comme ailleurs.