Contrats précaires, temps partiels, salaire moyen de 900 €, manque de reconnaissance persistant… Tout mon soutien aux accompagnantes des élèves en situation de handicap (AESH) qui manifestent à l’appel de l’intersyndicale ce 3 octobre.
Alors que plus des trois quarts des élèves handicapés n’auraient pas accès à une scolarité normale voire seraient déscolarisés selon une récente enquête de l’Unapei, il est nécessaire de définir un véritable statut pour les AESH, de leur garantir une revalorisation salariale ainsi q’une formation professionnelle adaptée. Ces moyens matériels et humains conditionnent le droit à une scolarisation pour toutes et tous.
J’ai déposé plusieurs questions écrites au gouvernement sur le sujet et reste mobilisée.