Mercredi 17 janvier, j’auditionnais les président et directeur général des deux instances de la gouvernance des risques nucléaires: l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) et l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN).
Alors que le président de la République a annoncé la construction de 8 nouveaux réacteurs EPR en plus des 6 déjà prévus, le Gouvernement présente un projet de loi visant à fusionner ces deux instances au motif de raccourcir les délais d’autorisation de nouveaux projets.
J’ai ainsi rappelé que ce projet controversé de réforme de la sûreté nucléaire, qui sera débattu au Sénat début février, ne doit pas se faire au détriment de l’incontournable transparence et sécurité à laquelle nous sommes très attachés.